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nadoptepaslebouddhisme.com

"Comme la lumière avec la flamme" : le bouddhisme du Tibet

4 Décembre 2014 , Rédigé par L'auteur Publié dans #Dalaï Lama, #comme la lumière avec la flamme, #bouddhisme et femmes, #manipulations spirituelles

"Comme la lumière avec la flamme" : le bouddhisme du Tibet

J'ai tout entendu sur ce livre.

Quand je rapportais les propos trouvés sur internet concernant la vision des femmes dans le bouddhisme ... vous savez le vase rempli d'ordures ...

  • on m'a insulté,
  • que je n'étais que haine (et que même je propageais ma haine du bouddhisme sur internet),
  • qu'il y aurait dû avoir des signalements de mes propos à qui de droit,
  • que ce que je rapportais, c'était des traductions faites par les chinois ... vous savez, les méchants qui persécutent les pauvres tibétains...

Bref, pour me faire une idée objective de cet ouvrage, je me le suis procuré pour mieux le lire et je l'ai physiquement dans les mains.

Après un rapide coup d'oeil, c'est pire que je ne pouvais le penser. En réalité, les propos que l'on retrouve deci-delà sur le web sont largement en-dessous de la vérité.

En ce jeudi 4 décembre 2014, je vais en faire un résumé objectif (j'entends par objectif, la reprise intégrale des écrits, avec mes commentaires) parce que cela vaut son pesant de cacahuètes.
Après je sais à qui je vais l'offrir puisque mes propos me font passer pour un agité ayant une tumeur au cerveau (sisi, on me considère comme celà !)
 
Parmi la longue  lithanie des mensonges :
 
"Ce livre est une traduction dirigée par les Chinois" : FAUX
 
  • L'auteur : on ne présente plus le moine bouddhiste tenzin gyatso, 14e dalaï lama ... n'a rien d'un activiste chinois
  • Traducteur(rice) anglais : jeffrey hopkins (tibétologue américain a enseigné plus de trente ans, auteur de plus de 25 livres sur le bouddhisme tibétain, interprète anglais du dalaï lama pendant 10 ans, membre actif du "mouvement du tibet libre") ... n'a rien d'un activiste chinois, aidé d'anne klein (aussi appelé lama rigzin drolma) co-fondatrice du temple dawn mountain ... n'a rien d'une activiste chinoise.
  • Traducteur français : emmanuel scavée ... n'a rien d'un activiste chinois
  • Editeur : Editions du Rocher, 1997. Fondées en 1943 par Charles Orengo à Monaco, les Editions du rocher ont d'abord publié de la poésie, avant d'acquérir une certaine notoriété littéraire, puis de retourner dans un certain oubli. Dans les années 1980, sous la houlette de l'éditeur Jean-Paul Bertrand, passionné d'ésotérisme qui les a dirigées puis rachetées en 1987, elles se sont transformées. Le groupe s'est même un temps hissé au 5e rang des maisons d'édition française. liquidé, repris par le groupe DDB en 2009, liquidé en 2012, aujourd'hui dans le giron des Editions Artège. ... n'ont rien d'activistes chinois.
 
Voilà pour mes détracteurs, avant de balancer n'importe quoi, vérifiez vos sources. Mettre les chinois à toutes les sauces ... ce n'est pas faire preuve d'intelligence et pire même c'est reprendre des rumeurs infondées qui ne sont pas dignes de votre "intelligence" vous valez mieux que çà !
 
Ce livre est de pure essence bouddhisme tibétain.

 

A gauche : jeffrey hopkins lors de son discours "Genre, sexualité et le bouddhisme tibétain: Comment le sexe est utilisé dans le chemin spirituel" ; A droite : anne klein au temple dawn mountainA gauche : jeffrey hopkins lors de son discours "Genre, sexualité et le bouddhisme tibétain: Comment le sexe est utilisé dans le chemin spirituel" ; A droite : anne klein au temple dawn mountain

A gauche : jeffrey hopkins lors de son discours "Genre, sexualité et le bouddhisme tibétain: Comment le sexe est utilisé dans le chemin spirituel" ; A droite : anne klein au temple dawn mountain

"Ce livre recueil de textes écrits et/ou sélectionnés par le dalaï lama est dédié tout particulièrment aux occidentaux"
 
Personnellement je suis déçu, je m'attendais à un livre plus détaillé, plus fouillé sur les idées propres du dalaï lama.
 
Et bien pas du tout, déjà c'est une compilation de recueils : "le bouddhisme du Tibet", "la Clé de la voie du milieu", "Le chant des quatre attentions", "La précieuse guirlande des avis du roi". Les deux premiers sont du moine tensin gyatso, le 14e dalaï lama, le troisième est une reprise de kaysang gyatso le 7e dalaï lama (1708-1757). Ce dalai lama est le premier à autoriser la construction d'une l'église catholique pour les 25 chrétiens habitant Lhassa, mais après cette ouverture inter-religieuse et après la conversion de 20 tibétains, les missionnaires catholiques durent quitter (fuir ?) le pays pour le Népal après l'incident "diplomatique du 22 mai 1742". Cinq des nouveaux convertis furent flagellés publiquement pour avoir refusé de participer aux prières lamaïques. Voilà comment le Tibet garantissait la liberté de culte.
Le dernier texte est de nagarjuna, moine bouddhiste indien du IIe siècle, grand théoricien de la "voie du milieu" qui aurait vécu 600 ans ... rien que çà !
 
Voilà pour le décor, de toute évidence, nous sommes face à un système de pensée extrêmement évolué qui fait appel aux derniers penseurs modernes (humour). En réalité, ce n'est qu'une compilation (dans leur très grande majorité les textes bouddhistes sont des reprises de citations, de textes anciens ayant pour origine le chamanisme et le brahmanisme, période ou l'on avait pas encore inventé l'eau chaude).
 
Ce livre a été écrit le 12/10/2516 (selon le calendrier tibétain), fameuse année de la souris d'eau.
Il comporte 228 pages, écrit en gros caractères, beaucoup d'espaces, on peut le lire en 2 h en lecture rapide.
 
Première partie : Le bouddhisme du Tibet
Rien d'original, il est vrai que ces livres ne sont que des redites : on reprend le schéma traditionnel :
  • pourquoi le bouddhisme (qui se présente clairement comme une religion, n'en déplaise aux adeptes de la théorie d'une philosophie ultime),
  • le fondateur du bouddhisme,
  • les nobles vérités,
  • le dharma,
  • le cycle des existences,
  • les joyaux,
  • la morale suprême : ... ne pas commetttre l'adultère ... ne pas tenir de propos insensés ... nier l'existence de ce qui existe, comme la réincarnation ... (si l'on n'applique rien que ces trois valeurs du coup je ne vois pas beaucoup de véritables bouddhistes autour de moi !),
  • la méditation,
  • la morale supérieure ...
 
et hop voilà le bouddhisme expliqué en 49 pages et en 20 minutes. En plus comme c'est destiné aux occidentaux et que les maîtres bouddhistes nous prennent pour des demeurés, il faut faire simple.
 
Deuxième partie : La clé de la voie du milieu
Ca commence par : "Je m'incline respectueusement devant le Conquérant, Protecteur de tous les êtres par sa compassion sans limite ..." oups, ça démarre mal pour moi.
 
Cette partie comporte 58 pages de questions-réponses avec de nombreuses réferences à nagarjuna.
A gauche : le 7e dalaï lama ; A droite : statuette du moine nagarjunaA gauche : le 7e dalaï lama ; A droite : statuette du moine nagarjuna

A gauche : le 7e dalaï lama ; A droite : statuette du moine nagarjuna

Souffrance, mauvais états de conscience, notion de non-soi, non-existence des personnes, voilà les grandes lignes qui mènent au bonheur et évitent les phénomènes de transpiration (p.55), voilà la grande misère de ce monde, la transpiration.

p. 63 : "Chacun sait que le fait de tenir pour vraies de fausses informations est une source de confusion et de souffrance"

moi : si on applique à la lettre ce principe, les vérités du bouddhisme et l'enseignement du bouddha ne sont en réalité que de fausses informations provoquant confusion et malheur.

p. 68 : "Donc, en dehors de la sagesse qui connaît directement la vacuité, toutes les consciences sont abusées."

moi : allons jusqu'au bout de ce raisonnement, les catholiques sont abusés par le Pape, les musulmans par le Coran ... seuls les enseignements de bouddha sont "justes"

p. 93 : "Nous accéderons facilement à la certitude que les trois joyaux sont le seul soutien pour ceux qui aspirent à la libération. Ceux que la souffrance taraude chercheront refuge auprès des trois excellences et développeront une ferme et indestructible attitude d'aspiration à la libération."

moi : ici, je distingue très clairement le discours sectaire des maîtres. Ils inculquent la notion de souffrance qui en réalité n'est qu'une contamination de l'esprit par le raisonnement suivant : "tiens, tu ne te retrouves pas (comme le cas de l'ingénieur en aéronautique dirigeant un centre bouddhiste dans le centre de la France (émission des racines et des ailes)) dans ta condition actuelle... je te propose de te refugier après de mes enseignements et là tu retrouveras la paix intérieure, bien entendu, il faut participer à l'achat des mérites ce qui accélérera l'accès au nirvana ... exactement comme la personne qui est venu s'effondrer auprès du lama tsultrim le 6 novembre 2012 en lui demandant de se convertir..."

p. 93 : "Dans ce contexte (les trois joyaux), ces voies sont des états de conscience conduisant au nirvana et, grâce à la voie de la vision qui agit comme un antidote, nous commençons à accéder aux véritables cessations de la souffrance."

p. 94 : "comme on l'a vu précédemment, nous commençons ensuite à réaliser les véritables cessations qui sont les phases d'abandon total et définitif des conceptions intellectuelles d'une existence inhérente et tout ce qui s'ensuit."

moi : on retourne clairement à un état d'infériorité, l'ignorance du sauvage de Rousseau, le retour à la "pureté originelle" fameux mythe du siècle des Lumières.

p. 97 : "Si l'on y parvient, on accomplit un grand progrès auquel rien ne peut se comparer... il faudrait pratiquer la méditation quatre fois par jour ... d'avoir la possibilité de se livrer à six ou huit séances, voir davantage ... tout au long de la journée..."

moi : ici on affiche haut et fort la supériorité de leurs enseignements. (rien ne peut se comparer) est un argument que l'on retrouve fréquemment sur les blogs et sites web bouddhistes, nous ne sommes pas loin du slogan "buddhism über alles !".
De plus 4 heures de méditation par jour ... si on passait quatre heures par jour à consacrer notre temps et notre énergie aux autres (resto du Coeur, nettoyage des forêts, peinture, musique ...) on n'aurait plus beaucoup de problèmes existentiels, vous ne croyez pas ? et encore moins à penser au bouddha.

 

et hop 44 pages de souffrance, si on n'en ressort pas atteint ... c'est une chance.
Troisième partie : le chant des quatre attentions qui font tomber la pluie des réalisations
Instructions pour la méditation sur la contemplation de la vacuité.
 
Ce texte est écrit par le 7e dalaï lama et est commenté par le 14e.
 
A partir de la première stance, le guide spirituel nous soutient dans la mise en pratique :
l'attention du guru, tenzin gyatso nous explique que le bon guru réside dans notre coeur. Ce que je n'ai jamais douté, ce n'est sûrement pas celui devant qui on doit se prosterner parce qu'il porte une toge !
L'attention de l'aspiration altruiste à l'illumination suprême, tenzin gyatso remet une couche sur les murs de souffrance qui nous entourent ... je lève mon nez du clavier, je jette un coup d'oeil autour de moi, mais je ne vois que la réalisation de mon travail ... ou sont ces murs de souffrance ?. "Comment peut-on soulager les êtres sensibles de la souffrance et des causes de la souffrance ?" (p. 108), tenzin gyastso nous dit "en devenant bouddha nous même avant d'oeuvrer à leur libération !", ouai bof, personnellement je ne suis pas sûr, tenzin gyatso, cela fait 14 fois qu'il revient en totalisant 900 000 heures de méditation et n'a pas fait grand chose de concret, mis à part ses inombrables voyages, mais cela n'est que mon humble avis.
L'attention portée sur son corps en tant que corps divin, tenzin nous explique qu'une fois notre décision prise pour accéder à la bouddhéité pour le salut des autres, le moindre retard, même une heure, devient intolérable. Donc les futurs bouddha seraient-ils des hommes pressés comme les traders à Wall Street, time is buddha, time is money ! Je ne vois pas la différence.
Ici notre corps brille comme les attributs d'une divinité, notre propre corps est contemplé comme une entité divine. C'est un peu comme les fantômes, ils brillent dans le noir ? "Je suis la divinitéééééé"
"Chéri tu éteindras ta lumière avant de venir te coucher !"
L'attention de la contemplation de la vacuité, tenzin part en parabole, tout ce qui est n'est pas, on fait référence à la négation de l'existence, les choses dans fondement possèdent faussement une existence et les gens qui acceptent leur existence sont aveuglés.
 
Fin des huit pages ... je suis comme saoûlé !
lati rimpoché (1922- †2010)

lati rimpoché (1922- †2010)

Quatrième partie : la précieuse guirlande des avis du roi
Avec l'aimable concours de gerald yorke, collectionneur de littérature occulte, grand admirateur de crowley bien connu pour son occultisme et sa "magie sexuelle". (Important de citer les sources et références ! pour voir à qui on a affaire)
 
La partie la plus importante de ce livre : "La précieuse guirlande est réputée pour la description complète qu'elle donne à la fois de la profonde vacuité et des actes de compassion d'un bodhisattva. La traduction est fondée sur une transmission orale et une explication du texte données par S.S. tenzin gyatso à Dharamsala en mai 1972. Le texte a été traduit en anglais selon les recommandations du disciple Tsong-ka-pa, gyel-tsap. Jeffrey hopkins a ensuite retraduit oralement son texte anglais en tibétain qui a été vérifié par lati rimpoché, puis il a été finalement retravaillé avec anne klein pour en améliorer la forme anglaise".
 
Donc un maximum de précautions, de vérifications, avec tous les participants et proches du dalaï lama ont été appliquées dans la diffusion de ces propos.
 
Parmi les 500 recommandations faites par le moine nagarjuna au roi indien satavahana, les recommandations suivantes sur les femmes sont incontournables :
  • n°20 : l'absence de désir ... et les actions qui en découlent sont les vertus
  • n°116 : quand le corps, qui est impur et grossier, un objet des sens, ne demeure pas impur pour l'esprit alors qu'il est tout le temps en vue
  • n°148 : l'attirance pour une femme vient surtout de la pensée que son corps est pur, mais il n'y a rien de pur dans le corps d'une femme.
  • n°149 : La bouche est un réceptacle de salive infecte et de saleté entre les dents, le nez est plein de fluide, de morve et de mucus, les yeux ont leurs larmes et leurs propres souillures.
  • n°150 : Le corps est un récipient empli d'excréments, d'urine et de viscères, celui dont la vision est obscurcie ne voit pas une femme ainsi et désire son corps.
  • n°151 : De même qu'un vase décoré rempli d'ordures peut plaire aux idiots, de même, l'ignorant, l'insensé et le mondain désirent les femmes.
  • n°152 : Si le monde est fort attaché au corps nauséabond dont la puanteur devrait le détourner, comment peut-il être libéré du désir ?
  • n°153 : De même que les porcs sont avides d'une source d'excréments, d'urine et de vomissure ; de même, les hommes lubriques désirent une source d'excréments, d'urine et de vomissure.
  • n°154 : La cité abjecte du corps avec ses trous excrétant les éléments est appelée par les être stupides un objet de plaisir.
  • n°155 : Dès lors que tu as vu par toi-même la saleté des excréments, de l'urine et du reste, comment pourrais-tu être attiré par un corps ainsi composé ?
  • n°156 : Pourquoi devrais-tu désirer cela quand tu le reconnais comme une forme répugnante produite par une semence dont l'essence est l'ordure, un mélange de sang et de sperme ?
  • n°157 : Celui qui se couche sur cette masse obscène couverte d'une peau humide de ses fluides est simplement étendu sur la vessie d'une femme.
  • n°158 : Beaux ou laids, jeunes ou vieux, si tous les corps de femmes sont orduriers, alors d'où vient ton désir.
  • n°159 : Il n'y a pas lieu de désirer l'ordure bien qu'elle puisse être belle de couleur et de forme dans sa fraîcheur ; il en va de même avec le corps d'une femme. 
  • n°160 : Comment ne verrait-on pas la nature de ce corps putrique, une masse pourrie recouverte de peau, quand elle paraît à ce point horrible ?
  • n°161 : La peau n'est pas répugnante, elle est comme un voile sur une masse d'ordures, comment pourrait-elle être propre ?
  • n°162 : Si beau qu'il soit à l'extérieur, un vase empli d'ordures est méprisé. Pourquoi le corps, ainsi rempli et répugnant par nature, n'est-il pas méprisé ?
  • n°163 : Si tu exècres l'ordure, pourquoi ne dédaignes-tu pas ce corps qui corrompt les parfums, les fleurs, les aliments et les boissons ?
  • n°164 : Comme on méprise sa propre souillure ou celle des autres, pourquoi ne méprise-t-on pas son corps souillé et celui des autres ?
  • n°165 : Puisque ton propre corps est aussi répugnant que celui d'une femme, ne devrais-tu pas rejeter tout désir pour toi et pour d'autres ?
  • n°166 : Si toi-même tu laves ce corps suintant par les neuf blessures et si pourtant tu ne le juges pas ordurier, à quoi peut te servir l'enseignement profond ?
  • n°167 : Quant à celui qui compose de la poésie avec des métaphores qui élèvent ce corps - Ô quelle impudeur ! ô quelle stupidité ! Quelle gêne aux yeux du sage !
  • n°168 : Parce qu'ils sont égarés dans les ténèbres de l'ignorance, les êtres sensibles se querellent pour ce qu'ils désirent comme des chiens se disputent quelque ordure.
  • n°170 : Si tu raisonnes ainsi, même si tu n'es pas libéré du désir, tu n'auras plus envie des femmes parce que ton désir aura diminué.
 
hop ! 79 pages de pure mysogynie, de conseils sur les mérites à accomplir pour cheminer sur la voie de l'éveil et quand je pense à toutes ces adeptes femmes qui se prosternent devant ces maîtres bouddhistes !
En pendant que je transcrivais ces textes, on me disait que j'avais encore lu de travers.
 
Je ne vois pas comment on peut lire de travers le n°162 par exemple, comparer le corps d'une femme à un vase empli d'ordures ? La comparaison est claire et sans ambiguïté.
Donc ceci me fait dire qu'un(e) adepte bouddhiste et les sympathisants bouddhistes sont en condition d'accepter n'importe quoi et de rejeter leur manque d'objectivité sur autrui en le qualifiant d'agité mental.
La principale question qui se pose, c'est comment peut-on laisser publier de tels propos sexistes et misogynes sans que cela ne fasse polémique, comme quoi le bouddhisme est déjà bien implanté dans nos institutions et nos esprits, comme un mal indétectable qui distille son venin lentement mais sûrement.
 
Alors, parler de religion de sagesse, c'est à s'esclaffer !
 
Merci à thierry, sans qui cet article n'aurait pas vu le jour aussi vite.
 
 
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